• héhéhé, comme tous les 2 semaines, un vendredi sur 2, c'est le jour de paye ! et là comme je suis revenu a mon niveau d'autre fois j'ai une paye digne de ce nom ! enfin pour la première fois ! résultat et avantage : le déménagement repoussé a DEMAIN au lieu de la semaine dernière se fera sans problème. Les dernières factures seront payées sans difficultées et comme le loyer sera de moitiée le mois prochain j'aurai de quoi mettre de coté pour mon immigration, le dossier part le 1er juin, il est complet sauf une petite feuille qui va arriver dans quelques jours, bref, ca roule, ca farte (c'est la mode en france... quel horreur) et même si je suis malade, je pête la forme ! (paradoxale moi ? non !)

    Musique : No One Is Innocent - Nomenklatura, Revolution.Com, La Jeunesse Emmerde Le Front Nationale !!!
    Morale : envis de tous cassé mais dans le bon sens du terme ! J'ai la banane !
    Santé : mal de gorge terrible, voix trois tons plus bas que la normale mais je m'en fous !


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  • Je tiens a remecier Tim de me remonter le moral (et autre chose) grâce a son dernier poste (gros bisous tendres pour toi ma elle, en passant, tu reviens quand ?)
    Je remercie aussi la pluie, non pas battante mais raffréchissante (ca aide après être passé sur certain bloggs)
    Je remercie Metallica et surtout Winamp pour avoir ballancé à la suite 5 de mes chansons préféré a la suite en mode shuffle
    Je remercie l'inconnue qui m'a spamé avec un mail a mourrir de rire pour me faire alongé le qui pend déja dans mon pentalon
    Je remercie aussi mes parents de m'avoir réveillé à 11h pour me dire qu'ils m'avaient pas appeler la veille parce que c'était vendredi 13... j'ai pas tout compris mais c'était drole
    Je remercie mon "peut-être" futur coloc pour n'avoir pas prévu assez d'argent pour jouer la camionnette hier et qui me dit que ca sera partie repise pour samedi prochain (ce me tentait pas de défaire mon lit et encore moin de le démonter)

    Enfin bref, aujourd'hui, je me sens moins con et avec un moral plus élevé que durant cette semaine, faut dire que j'ai mis les points sur les I à pas mal de monde et c'est mieux comme ca, j'ai pas a me triturer l'espris avec des conneries !

    Donc, ca va ! bon, faut que je fasse ma lessive moi...

    PS: Tim, oublie la correction stp, j'ai pas envie de me prendre la tête là dessus, rire


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  • Je suis un con

    Musique : Metallica, Sad But True
    Sentiment : Sad But True... fuck ! I'm studip


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  • et bien il fait beau ! il fait chaud ! les balcons sont pleins ! débordent même ! les jupes sont courtes et les tenues sont légère ! très légères ! et c'est beau ! Les couleurs un peu ternes disparaissent et les tons plus estivals fleurissent sur les corps des jeunes filles ...

    Bon, ben il va vraiment faloir que je me paye de nouveaux vêtements pour me fondre dans la masse moi... prochaine paye surement...


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  • Ce dernier se mit en rage, grattant le sol de ses sabots, soufflant bruyamment comme un taureau déchaîné. Le moine se leva, lentement, comme saluant son seigneur. Le démon s'impatientait. Le prêtre se retourna, simplement. Bien qu'il soit face à la créature, on ne pouvait voir son visage ni même ses mains, sa robe le couvrait parfaitement. Le démon déclencha son attaque en faisant luire ses cornes. Elles devenaient de plus en plus claires, blanches, rayonnantes. Et il se forma entre les deux, un éclair, déchirant le silence de ce lieu saint. Cet éclair déchira l'espace et l'air, partant foudroyer le moine. Celui-ci se protégea derrière sa main. Une main d'une blancheur immaculée, presque morbide, il bloqua la foudre qui devait le frapper. Dans un fracas terrible, l'éclair résonna sur les murs de roc. Sans trace, ni même une marque, il remit sa main le long de son corps. Les yeux du monstre étaient exorbités par la surprise. L'homme restait là, sans un mot ni le moindre geste, stoïque. Le démon recula, et semblait prendre peur, mais un sursaut d'orgueil lui fit recommencer son attaque. Le tonnerre retentit de nouveau mais le résultat fut identique. Le silence de retour dans la salle était pesant pour la bête. Mais ce calme laissa la place à un léger bourdonnement. La pièce sombre, devint peut à peut de plus en plus lumineuse.

    Une clarté, presque sacrée, emplissait la paroisse comme le son devenait plus fort. C'est du dos du saint homme que s'échappait cette ambiance mystique. La lueur provenait de flammes, pas de celles du village passant par la porte restée ouverte, mais bien de ce moine étrange. En un instant, le sifflement se tut lorsque deux ailes immenses sortant du dos du prêtre envahirent l'intérieur de l'église. Ses ailes étaient inimaginables, d'une taille majestueuse et brûlant leur propre substance. Le démon fut terrorisé : cet enfant du mal venait de connaître la peur pour la première fois, mais aussi la dernière.

    L'ange retira d'une main lente le masque qui le cachait. Son capuchon couvrait toujours son visage. Son masque, aussi blanc que sa propre main, ne comportait aucune ouverture, ni pour les yeux ni pour la bouche. D'un geste, il leva la tête dévoilant son visage à la bête apeurée. Il n'avait pas de trait, il n'était que lumière, une lumière puissante, éblouissante, aveuglante, tel un soleil à midi. Le démon s'aperçut bien trop tard que cette lueur lui était fatale, il tenta de se protéger avec ses bras, mais il n'était déjà plus qu'une statue de lui-même. Pétrifié par cette blancheur, il vola en éclat sous la force de cette frappe lumineuse. Propulsés dans les airs, puis tombant à terre, les morceaux de la créature se dispersaient. Un bras, pétrifié, glissa jusqu'à l'ange. Il ne restait rien de ce membre, si ce n'est une trace sur la peau : un tatouage. Ce dessin mystérieux était complexe et indescriptible. L'ange se dirigea vers la sortie de l'église. Ses ailes s'étaient évaporées. En replaçant son masque, il laissa voir la marque qu'il portait, comme le démon, sur son bras : le même tatouage.

    Le jour était là maintenant, l'ange resta un instant sur le seuil, constatant le malheur du village. Il reprit le chemin vers les bois. Suivant apparemment les démons dans leur route. Les villageois, réfugiés dans un endroit sûr, voulurent remercier cet homme, qu'ils croyaient ordinaire. Mais ce dernier ne leur fit qu'un simple geste au loin, ne s'arrêtant pas dans sa marche. Deux fermiers, le père et le fils, avaient assisté au combat entre le divin et le malin. Le jeune voulu poursuivre l'ange pour le remercier d'avoir sauvé leur famille. Mais le père saisit le bras de son fils en lui disant non ! Les visages se firent plus durs entre les deux hommes. La sagesse du vieux paysan se fit entendre. Il raconta à son enfant, l'histoire triste et mélancolique d'un être parfait, un ange comme ce faux moine. Cet ange n'était pas comme les autres, il ne se sentait pas heureux au paradis. Il passait ses journées à regarder les humains naître, vivre et mourir. Il voulait que ces vies soient sans peines, sans heurts et sans les malheurs de ces démons de l'enfer ! Il décida qu'il devait faire autre chose que de les observer de haut, discrètement, il doit pouvoir intervenir lorsqu'il le faut ! Alors il quitta le paradis et descendit sur la Terre des hommes. Dieu, remarqua ce départ et estima cette fuite comme dangereuse pour lui et les autres anges. Il convoqua le déserteur et le questionna sans ménagement. Le pauvre ange s'expliqua en implorant le pouvoir d'aider les hommes. Le Seigneur lui rétorqua qu'il n'avait pas créé les anges pour cette fonction, qu'il ne pouvait combattre les démons sans son autorisation, qu'il n'y avait pas lieu de déclencher une guerre sainte contre les démons de la surface et qu'il devait donc rester au paradis avec ses frères anges pour accueillir les morts et veiller à leur bien-être. Non, supplia l'ange, harassé de tant de passivité, il veut combattre le mal, sauver des vies plutôt que de les attendre ici alors qu'il est trop tard ! Dieu se courrouça. Il ordonna de châtier son enfant, l'expulsant du Paradis pour l'éternité, lui retirant sa beauté parfaite et ses ailes de plumes blanches ! Il devint un être entre démon et ange. Voir son visage provoque la mort par la pétrification, le toucher, la mort par l'immolation et ses ailes sont devenues aussi dangereuses que les flammes de l'enfer ! Pourtant il reste une créature au cœur plein d'amour pour son prochain, ne souhaitant faire que le bien. Préférant donner sa vie, maintenant mortel, pour sauver un enfant plutôt que d'attendre l'âme de ce petit être aux portes du Paradis.

    Le jeune paysan fut surpris de cette histoire, inondant son père de questions afin de savoir s'il disait vrai. Puis il marqua une pause et sembla attristé par l'état de cette créature bonne, mais définitivement vouée à donner la mort même sans le vouloir. Il se demanda alors comment pouvait vivre un être avec un tel fardeau. Un tel poids sur ses épaules. Vivre avec une charge aussi terrible attrista le petit paysan, se sentant presque mal à l'aise, voulant faire un geste pour cet ange, mais ne sachant rien pouvoir faire... Le père le réconfortât en lui disant qu'il avait choisi cette route et qu'il n'avait pas de remord. Il est l'archange de la solitude. Le père dit à son jeune fils qu'il ne fallait pas pleurer pour lui, qu'il n'aimerait pas ça, qu'il préférerait nous voir reconstruire nos maisons le sourire aux lèvres. Il serrait son enfant contre son cœur. Et lorsque ce dernier leva les yeux vers le visage de son père, il vit une larme couler sur sa joue. L'ange marchait toujours vers les arbres, se dirigeant vers les démons de la nuit. Son pas assuré ne faiblissait pas. Bientôt, il fut trop loin du village pour entendre le feu qui y sévissait encore. Le silence autour de lui, comme les arbres, le rendait las. Il repensait aux visages qu'il ne pouvait voir, comme autant de vies qu'il venait de sauver. Cette torpeur le rendait plus calme aussi, plus sûr, sachant qu'il arriverait à la tanière de ces démons dans quelques jours. Ce sera une longue route. Une route solitaire. Elle offrira à son cœur le repos du guerrier. Le calme avant la tempête. Demain, il en tuera encore un ou deux peut-être. L'un de ces démons, ses frères. Et il le savait.

    C'était la première fois que je le vis, il paressait ordinaire, pareil à tout homme. Sous sa robe de moine, brûlait un cœur incroyable de bonté et de générosité. Un être créé pour le bien, mais qui ne pouvait faire que le mal. Et depuis, je ne suis plus le petit paysan ignorant, je connais toute son histoire. Je connais son secret.

    FIN


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